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référencement, google, moteurs de recherche, web 2.0 ... suscitent des réactions qu'on soit e-marketer, annonceur, ou le ciblé en question.
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05 octobre 2007
yahoo search marketing esseulé…
yahoo search marketing annonce ce jour le lancement du ciblage comportementale en france.
evidemment on ne peut que s’en réjouir. malheureusement, yahoo perd son principal client liens sponsorisés, orange.fr et voilà .fr dans le même temps au profit de… google. il s’agit tout de même du premier fournisseur d’accès à internet en france. cette nouvelle est donc un peu étiolée par cet événement.
google frôle la position monopolistique, jamais réjouissant….
yahoo! lance le ciblage comportemental en france
après les etats-unis, le royaume-uni et l’allemagne, yahoo! lance le ciblage comportemental sur le marché français. le ciblage comportemental repose sur une modélisation de données recueillies (publicités sur lesquelles l’internaute a cliqué, mots clés recherchés, pages visitées…) lors de sessions de surf au sein du réseau yahoo!. “dans un marché
publicitaire sur internet en forte progression, yahoo! entend aujourd’hui révolutionner le média planning et
les critères de ciblage traditionnels comme le ciblage sociodémographique, le ciblage géographique ou celui basé sur les centres d’intérêt”, précise le groupe dans un communiqué. “nous sommes déterminés à continuer à innover afin de proposer aux annonceurs des solutions qui améliorent la performance de leur mix digital”, ajoute christophe parcot, directeur général de yahoo! france et vice-président europe du sud.
david
02 octobre 2007
quelles données collectées par google lors d’une recherche ?
vous vous demandez certainement quelles données google collecte lors d’une recherche effectuée sur le moteur. et bien voici la réponse en vidéo, de manière très pédagogique…
  Â
evidemment en tant que professionnel j’aimerais également obtenir la même démonstration concernant les données collectées par analytics, gmail, gtalk, ou tou autre outil fourni par gratuitement par google. apparemment cette vidéo explicative n’est que le début d’une série de vidéos destinées à mieux faire comprendre à l’utilisateur la politique de collecte des données de google. on apprend notamment dans cet article paru le 14 septembre dans le figaro que google souhaite être l’instigateur d’un standard de protection des données dans le monde entier…
lien complémentaire : - la chaîne officielle de google
david
26 septembre 2007
référencement : comment éviter la duplication de contenu ? 2/2
 suite de l’article “comment contourner la duplication de contenu” publié le 19 septembre (avec un peu de retard, j’espère que vous me pardonnerez…)
le contexte : vous souhaitez diffuser votre contenu à d’autres pays francophones comme la belgique, la suisse, le québec, mais le contenu de votre site restera à 80, voire 90% identique en dehors de quelques adaptations “culturelles” (articles ciblés), ou “économiques” (prix de vos produits adaptés à la devise du pays et/ou au niveau du pouvoir d’achat du marché).
bien entendu, il est prôné dans de nombreux ouvrages mais on peut aussi faire appel au bon sens, qu’une adaptation culturel de votre site doit être adoptée dès le lancement du site dans sa nouvelle version. adaptations de forme et de fond. mais nous savons également que cela n’est pas toujours possible pour des raisons techniques et / ou économiques tout simplement, le site étant souvent géré par le biais d’un cms unique (c’est tout l’intérêt du cms…), localisé à un endroit, il apparaît alors peu probable de séparer les deux sites physiquement. de l’autre côté les contenus sont achetés ou produits en interne et l’on souhaitera les réutiliser autant que possible.Â
comment dans ce contexte, différencier deux sites en contournant les “filtres” de détection d’une duplication de contenu, qui, dans notre cas est tout à fait légitime car il n’y a aucune raison que la version belge, suisse ou québecoise d’un site ne soit pas visible !
1. eléments de base :
- attribuez un nom de domaine différent à vos deux sites, avec le suffixe du pays ciblé. cela servira vos intérêts dans le cas des recherches “locales”, privilégiées par les internautes belges, suisses, québecois (ex:”rechercher dans les pages belge” dans google). ainsi un site nommé www.monsite.be aura plus de chance d’apparaître dans les résultats des pages “locales”.
- faites hébergez la version du site dans le pays ciblé. cela serait idéal mais comme nous l’avons vu ce n’est pas toujours possible, souvent pour une question technique ou guidé par des contraintes économiques.
- une alternative consisterait à attribuer une adresse ip à cette version de site dupliquée, différente que la version initiale, en l’occurrence une ip du pays ciblé. il est communément admis dans les cercles de référenceurs que l’attribution d’une ip différente entre deux sites jouent clairement un rôle différenciateur entre deux site. cela semble donc une approche intéressante. cela dit, cette manoeuvre peut-elle être considérée comme une pratique “trompeuse” (white hat vs black hat), alors que la démarche est tout à fait légitime ?
- réécrivez les urls des pages du site à l’aide de règles différentes ou nuancées pour rendre chaque page singulière. cette manipulation est assez facilement réalisable.
2. eléments de formes :
- modifiez l’arborescence du site dupliqué. les cms permettent de modifier à loisir le nombre et l’ordre des rubriques proposées sur votre site. modifier, même légèrement l’arborescence du site dupliqué, en proposant un ordre différent semble également une piste pertinente. ce point est très complémentaire de la réécriture d’urls…
- en complément, modifiez ou nuancez les intitulés de certaines rubriques. ajoutez notamment sur les rubriques institutionnelles le nom du pays cible, ex : “cgv belgique”, “livraison belgique”, “monentreprise belgique”, etc… ces deux éléments nécessitent bien entendu une concertation avant mise en place, davantage marketing que technique mais “votre effort” sera récompensé dans les résultats !
- créez une charte graphique propre au pays ciblé. c’est bien évidemment un élément de base. mais là aussi, pour les raisons exposées précédemment, cela n’est pas toujours possible. cependant, l’ajout de quelques éléments d’adaptation culturelle, comme un drapeau du pays, mis en évidence en haut de page, est un plus. en allant un peu plus loin, sans pour autant changer d’identiter visuelle, peut être diposez vous d’une banque d’images dans laquelle vous pouvez piocher et proposer des illustrations différentes par pays.
- pensez à modifier légèrement la disposition de certains éléments du modèle de page, tels le chemin de fer, la place des images, l’emplacement du contenu, sans pour autant “casser” le site. mais là aussi, cet élément est quelque fois difficilement négociable.
3. eléments de fond :
si vous vous intéressez un temps soit peu au référencement , il y a fort à parier que vous connaissez le fameux adage “le contenu d’un site est roi“. c’est bien là que se joue le succès d’un référencement et que doivent se concentrer vos efforts de différenciation, c’est cet élément clés qui est analysé en priorité par les moteurs et qui fait l’objet de tous les débats. google dispose vraisemblablement d’un algorithme capable de détecter les fortes similarités entre deux pages de contenus (qui fait d’ailleurs l’objet d’un dépot de brevet). mais je ne crois pas qu’il soit si perfectionné que cela, tout simplement parce qu’il s’agit d’une mécanique automatisée. le temps de calcul pour recouper les possibilités de repérages serait trop important !?. je ne sous estime pas les capacités de l’outil, ce serait une erreur mais je pense qu’il est loin d’être aussi menaçant qu’on veuille bien le croire.
- modifiez légèrement vos titres, sous titres, inter titre. ces réécritures ne nécessitent pas un effort très important.
- découpez vos paragraphe de manière légèrement différentes même si le contenu reste identique.
- segmentez vos contenus d’une manière différente. certains sites proposent des contenus divisés en deux, voir trois parties, (souvent pour multiplier les pages avec pub), dans ce cas “coupez” vos contenus à des endroits différents.
- en complément, ajoutez un texte d’introduction à vos contenus, adpaté au pays par le biais d’un bloc de texte de deux ou trois lignes.également, sachant que les moteurs accordent une importance au contenu en haut de page.
- avez-vous pensé à nommer différemment les images d’illustration de vos contenus ? dans la balise “alt”, de même que dans la légende de l’image ?
4. elément externe :
vous connaissez sans doute, toute l’importance du nombre et surtout de la qualité des liens émanant de sites externes vers vos pages internes, matérialisée par le pagerank et remplacée par la notion de trustrank (indice de confiance d’un site dans son domaine d’activité).
c’est très certainement la seconde priorité de vos efforts de différenciation.
- développez un réseau de sites dans le pays ciblé. si votre site diposent de 300 liens de qualité depuis des sites du pays cible, cela en modifie d’autant sa pertinence aux yeux des moteurs. cela contribue à développer une identitée propre à la version du site dupliquée. le développement des backlinks de qualité est la bête noire de tous les référenceurs. c’est l’élément qui prend certainement le plus de temps, c’est aussi pour cela qu’il est le critère le plus fréquemment “spammés”… pourtant c’est tellement porteur et une fois de plus le travail manuel est celui qui paie le plus !
cette liste de critères n’est sans doute pas exhaustive, je vous invite d’ailleurs à la compléter, la préciser. j’utilise régulièrement la plupart de ces éléments pour contourner la duplication de contenu. bien sûr il s’agit là d’une liste dans laquelle vous pouvez piocher, puisque tout appliquer reviendrait certainement à changer de site ou presque …
par contre je vous le dis sans détour, cette dernière solution reste assurément la meilleure solution, vous l’aurez compris !
n’hésitez pas à partager vos expériences et à réagir à cet article !
david
Â
20 septembre 2007
référencement : comment éviter la duplication de contenu ? 1/2
la duplication de contenu web alimente toujours beaucoup le discussions autour du référencement surtout lorsqu’il s’agit d’expliquer la baisse d’un positionnement dans les moteurs (google en tête). c’est avec l’avènement des blogs que la duplication de contenu est apparue, en effet, nombreux sont les blogs qui reprennent de l’information émanant d’autres blogs, par syndication le plus souvent, il s’agit donc pour les moteurs d’identifier la source la plus pertinente pour les demandes des internautes.
qu’appelle t’on concrètement duplication de contenu et que risque t’on ?
il existe plusieurs variantes, mais voici en substance les deux cas de duplication, les plus fréquents :Â
- si vous copiez intégralement un contenu émanant d’un autre site sur votre site, au delà des aspects juridiques que je n’aborderai pas ici, vous risquez auprès des moteurs d’être pénalisé dans les classements, si les moteurs parviennent à identifier la source du contenu dupliqué sur votre site (site classique ou blog).
- autre possibilité, même “sanction”, si votre site est intégralement accessible sous deux noms de domaine différents et que les moteurs parviennent à les indexer sous ces deux “versions”. une variante de duplication de contenu dont google parle ici, concerne l’emploi d’id’s de session dans les adresses urls de vos pages.
comment éviter cette duplication de contenu ?
bien entendu, sauf cas rare effectués de manière délibérée, les sites qui souffrent d’une baisse de positionnement du à une duplication de contenu, le sont par “erreur”.
un des cas que je rencontre souvent et que j’ai souhaité traité ici, est la duplication de sites à destination des pays francophones :
- comment justifier auprès de google que chaque contenu peut être indexé indépendamment sous une version française, belge et / ou suisse par exemple puisqu’elles s’adressent chacune à un public différent mais avec un contenu à 80, 90%, identique puisqu’il s’agit de la même langue ?Â
- quelles contraintes techniques cela implique ? car il y a bien entendu la théorie … et la pratique !
c’est ce que je vous propose d’aborder demain dans la suite de l’article.
en attendant, je vous invite à partager vos expériences sur le sujet, car il y a toujours beaucoup à dire !
david
Â
12 septembre 2007
crowdsourcing : connaissez-vous le “crowdsourcing” ?
connaissez vous le crowdsourcing ?
faites travailler “la foule” plutot que chaque individu séparement …
l’idée tient en une phrase : “je veux acheter un appareil photo digital ; le meilleur expert du magasin de quartier en saura beaucoup moins que les 10 000 visiteurs d’un site sur internet, ayant testé l’appareil photo.”
c’est le pari qu’ont fait les sociétés américaines liveops ou encore idea crossing, des centres d’appels qui privilégient la voie du travail à domicile (réduction des coûts…) sans passer par des centres délocalisés en inde ou ailleurs, pratique déjà considérée comme “has been”…
mais wikipédia ou encore google image labeler sont déjà des exemples de crowdsourcing à la nuance prêt qu’il ne payent pas leurs contributeurs…
source : lemonde : crowdsourcing, l’internaute anonyme comme ressource humaine
définition et exemples de crowdsourcing depuis wikipédia
david
09 septembre 2007
un moteur de recherche consacré au seo (référencement)
il y a quelques temps je me suis prêté au jeu de google custom search, ce service permettant à n’importe qui de créer son propre moteur google.
plutôt intéressant de pouvoir se servir de la puissance de google pour créer son moteur de recherche vertical ! pour cela rien de plus simple, en 5 minutes vous baptisez votre moteur, proposez une description courte, ajoutez les sites sources que google indexera et qui serviront d’index de référence pour effectuer les liste de résultats pour chaque requête d’internaute.
j’ai donc créé un “petit” moteur autour de mon métier, le référencement. pour cela j’ai proposé une liste de sites anglosaxons que je juge pertinents, indispensables pour mon métier (bien entendu, je ne suis pas exhaustif) : searchengineland.com, searchenginewatch.com, http://www.searchengines.com, http://www.seroundtable.com/, http://forums.seroundtable.com
mon seo search engine - google custom search est maintenant prêt et je peux ainsi facilement retrouver l’information chaude concernant des sujets pointus dans mon métier.
bien entendu, ce moteur est ouvert à tous, d’ailleurs google propose des statistiques de fréquentation et une palette d’outils pour promouvoir votre google custom search (gestion de l’habillage, possibilité d’ajout sur les blogs, sur un site internet, …) avec la possibilité de partager les revenus issus des adwords, omniprésents (faut bien manger…).
interesting isn’t it ?
david
facebook+twitter+blackberry=micro blog
la formule peut effrayer, j’en conviens, …. moi qui pensait ne pas être un geek , me voilà pris dans la tourmente des joujoux du web actuel !
facebook tout d’abord : il s’agit d’un réseau social qui a pour but de connecter les gens, qui se cotoient ou qui se sont cotoyés, lors des études, du travail, lors de soirées ou que sais-je encore. facebook est le concurrent de myspace , le réseau social planétaire. l’idée est simple, vous crééez votre page et vous faites vivre votre profil en précisant qui vous êtes, quelles sont vos goûts (tous azimuts, une pléthore d’outils vous permettent de partager, musiques, photos, vidéos, etc…) et surtout vous vous mettez en relation avec des amis, connaissances ou amis d’amis, etc…
au départ, on peut être sceptique sur l’utilité de l’outil, pourtant on se prête vite au jeu, plus précisemment lorsque vos amis acceptent de vous rejoindre sur ce réseau et jouent le jeu du partage d’informations en tout genre.
dix huit amis m’ont rejoint, collègues de bureaux, amis, connaissances, d’hier ou d’aujourd’hui en quelques jours et je trouve cela plutôt sympa ! on peut également rejoindre des groupes thématiques. en l’occurrence, jean-françois ruiz (créateur d’un autre réseau social : ziki.com ), que j’avais rencontré dans le cadre de la création du moteur de petites annonces kappea.com (alors à sa génèse) m’a invité dans son groupe webdeux consacré aux web 2.0 justement et qui compte 575 membres , vous avez dit réseau !
ce n’est pas très “intuitif” au départ mais il faut prendre le temps de fouiner, on devient vite “addict”, paraît même que facebook est la site préféré de marissa meyer en dehors des sites google…
twitter ensuite : autant être honnête quand joel (gérant de kappea.com) m’a parlé de twitter j’ai été très spontané : “ça sert à rien ton truc, encore une connerie 2 point machin“.
twitter c’est quoi ? twitter permet à n’importe qui de parler de n’importe quoi, n’importe quand et depuis n’importe où en 140 caractères ! démonstration : voici l’adresse de mon twitter , c’est comme un blog mais en plus concis, depuis une interface qui ressemble à un champs d’envoi de sms je peux vous dire ce que je suis en train de faire, et vous de suivre mes aventures quotidiennes par fil rss… ça ne sert pas à grand chose mais c’est marrant . si quelques “stars” s’y prêtaient cela pourrait être une idée pour prolonger les potins relayés par les magazines people (voici, public et autres papiers à allumer le barbecue). j’ai ajouté mon twitter (”gazouilleur” en français….) à mon profil facebook, du coup mes amis peuvent suivre mes faits et gestes.
mon blackberry enfin : il s’agit de mon téléphone pro, il me permet de recevoir / envoyer des emails de partout, d’aller sur internet grâce au réseau 3g, bref, c’est un bureau virtuel portable et quand on travaille sur, avec internet et qu’on est tout le temps en vadrouille c’est plutôt pratique. là aussi, mon boss m’avait laissé sceptique, “ouh là un blackberry, mais ça téléphone au moins ton truc ? et tous ces boutons, c’est normal ?”. twitter me permet d’utiliser deux solutions pour alimenter mon espace, le sms ou la messagerie instanée. pour éviter de faire “casquer” ma boite, j’ai choisi la messagerie instantanée gtalk. il s’agit du msn messager de google, pas très connu mais plutôt pratique pour le coup ! comme gtalk est disponible pour blackberry, je l’ai donc installé et depuis n’importe où (bon faut quand même que la région soit couverte par la 3g) je peux alimenter mon micro blog.
la manipulation est plutôt ludique, et comme tous les jeux et bien on se laisse faire et on y prend du plaisir ;o).
fred cavazza , consultant web, proposait aujourd’hui un article sur les possibilités offertes aux entreprises par ce fameux twitter, …
je vais me prêter au jeux le plus longtemps possible (jusqu’à ce que je m’en lasse), n’hésitez pas à vous y inscrire , je suis sûr qu’il y a des idées à exploiter pour le site d’une entreprise !
david
06 juin 2007
le chemin de navigation, véritable levier pour le référencement !
dans la centaine de critères d’optimisation connus et analysés par les moteurs de recherche, nous savons que certains ont plus de « poids » et d’incidence, dans le calcul du positionnement futur de vos pages internet (search engines ranking factors :seomoz) il arrive d’ailleurs que certains d’entre eux soient tout simplement sous estimés. l’exemple de la « balise titre », est assez classique. avec ces 60 à 70 caractères seulement, elle joue pourtant un rôle majeur dans la position de vos pages.
mais c’est également le cas pour un autre élément qui peut paraître anodin à première vue, tant sa présence sur une page est peu remarquée, il s’agit du chemin de navigation du site, également appelé « chemin de fer ».
outre sa vocation initiale d’aide à la navigation de l’internaute, quels peuvent les bénéfices d’un chemin de fer dans le travail d’optimisation de votre site?
1. répétition « naturelle » des expressions clés de chaque page
le premier contenu de votre page détecté par les moteurs est souvent déterminant. il est donc recommandé de soigner tout particulièrement les 1000 premiers caractères de chaque page (et le choix de ses mots clés…). en complément, l’utilisaton des règles de structuration du contenu liées aux normes d’accessibilité des sites, sont particulièrement appréciées des moteurs (balises h1, h2, h3, ….).
l’ajout d’un chemin de fer de navigation va parfaitement dans ce sens puisqu’il se trouve en principe en haut de page, soit après le titre visible (en h1, …) de la page, soit juste avant afin de répéter les termes important de la page. si vous avez au préalable convenablement nommé vos rubriques, sous rubriques jusqu’aux pages fiche (dernier niveau d’arborescence), votre page sera naturellement créditée d’un contenu enrichi et cohérent avec vos balises titre !!
n’hésitez donc pas à « dérouler » votre chemin de fer jusqu’à la répétition du titre visible de la page dont il indique le chemin !
quelques exemples concrets sur des sites qui sont très visibles !
pixmania
alapage
bien entendu, si ce chemin de navigation est intégré dans une balise de mise en forme (h2 par exemple….), son effet peut être encore plus bénéfique pour votre positionnement !
astuce : en complément, il n’est pas rare que certains sites très volumineux reprennent de façon automatique tout ou partie du chemin de fer dans la « balise titre ». c’est un choix qui peut s’avérer tout à fait judicieux en fonction de la richesse des termes présents dans le nom de vos rubriques !
2. restitution du « contexte » dans lequel est utilisée l’expression
un des axes de progression des algorithmes des moteurs en 2006 concerne la compréhension du contexte sémantique dans lequel sont employés les expressions qualificatives d’une page.
google en particulier a remplacé la notion, jusque là très quantitative de son fameux « page rank » (nombre de liens depuis d’autres sites qui pointent vers votre site) au profit d’une notion davantage qualitative appelée « trust rank ». ce « trust rank », relève notamment de l’analyse du contenu environnant l’expression et de la relation des termes entre eux.
le chemin de fer permet à niveau moindre, certes, d’optimiser ce contexte, à condition que le nommage de vos rubriques et page fiche aient été pensés de manière hiérarchisée et cohérente.
exemple : alapage.com
page rubrique « a », termes génériques : « jeux video »
page sous rubrique « b », termes précis : « jeux vidéo » associé à « jeux playsation 3 »
page liste de produits « c », termes spécifiques : « jeux vidéo », associés à « jeux playsation 3 » et «arcade/action »
page fiche produits : « spiderman 3 » associés à « jeux vidéo »
dans cet exemple, la relation des termes est manifeste et la page s’en trouve enrichie sémantiquement. bien sûr il est possible de développer davantage encore ce système, vous pouvez laissez courir votre imagination…
3. augmentation de la densité du maillage des pages de votre site
un autre facteur clés du succès de votre positionnement concerne la manière dont les pages de votre site sont liées entre elles. ce critère représente un « poids » considérable dans le calcul de pertinence des pages, notamment pour google. là aussi, le chemin de fer s’avère très efficace !
prenons un exemple chez alapage.com : liste de bd « blake et mortimer »
la page qui liste les produits se trouve à 4 niveaux en dessous de la page d’accueil
plus nous descendons dans l’arborescence, plus le nombre de pages est important
par conséquent, plus on monte dans l’arborescence, plus le nombre de liens entrants pour les pages de niveaux supérieurs est important. dans notre exemple, la page « livres français » hérite d’un nombre très important de liens entrants, puisque toutes les pages de niveau inférieur (sous rubriques, liste de produits, fiche produits) proposent un lien vers « livres français ».
chaque page intermédiaire renforce sa pertinence dans son « champs d’action ». on voit ici toute l’importance de « hiérarchiser » les expressions par importance pour chaque niveau du site.
la condition de réussite de ce critère reste néanmoins de faire le choix d’un chemin de navigation généré par l’arborescence du site et non pas par la page précédente visitée par l’internaute (sa vocation première…).
amazon, pousse même le principe à son paroxysme pourrait-on dire, en proposant des liens transversaux vers des rubriques proches des produits présentés dans la page :
4. … aide à la navigation de l’internaute
n’oublions pas la vocation première du chemin de fer…. l’aide à la navigation dans votre site à destination de l’internaute !
mais comme tous les éléments clés d’optimisation de votre référencement, si vous pensez aux moteurs autant qu’à l’internaute, le résultat servira tout autant les intérêts de vos visiteurs que ceux de votre visibilité dans les moteurs !
pour cela le choix des mots clés et la création des contenus restent les étapes les plus déterminantes pour le succès de votre référencement, cqfd!!
24 mars 2007
google teste le pay per action !
c’est plutôt une bonne nouvelle pour les marketeurs, google teste actuellement, la possibilité du pay per action, autrement dit, l’annonceur affichant ses liens sponsorisés ne paierait qu’après une action effective sur son site : vente, inscription à une newsletter, téléchargement d’un document, validation d’un formulaire de demande de catalogue, demande de devis, etc…
augmentation du coût / commande ?
je trouve que cela va dans le sens de l’amélioration du fameux ratio coût / commande qui fait cauchemarder les marketeurs….
les liens sponsorisés, qui rappelont le, sont facturés à l’annonceur au coût par clic (pay per clic) proposait déjà une avancée remarquable de ce ratio face à la bonne vieille bannière publicitaire.
reste à savoir maintenant, comment ce produit va vivre à côté des autres solutions publicitaires de google. certainement un complément des adwords tels que nous les connaissons et sous certaines conditions d’utilisation…? le tout étant de ne pas canibaliser leur fond de commerce.
oui,… on peut leur faire confiance, ….
- captures d’écran du test google pay per action sur la plate forme adwords
david
28 janvier 2007
amapédia ! l’encyclopédie wiki produits d’amazon …
amapédia,… fallait oser le faire !
difficile de ne pas penser à une autre encyclopédie collaborative avec un tel nom !
pourtant amazon, la première boutique en ligne du web a bien osé lancer la première encyclopédie de produits (”productwiki”) rédigée par …. ses clients.
concrètement, amapédia , propose à ses clients, par le truchement d’un outil wiki, la possibilité de contribuer à l’enrichissement des contenus descriptifs d’une base de données produits, tous azimuts (quoique, je suppose qu’amazon s’adosse dans un premier temps à son propre catalogue déjà très volumineux).
Ôde aux produits d’amazon ?
plusieurs questions me viennent spontanément à l’esprit…. notamment celle de l’objectivité du contenu édité, comment ne pas être systématiquement dithyrambique ou à l’inverse franchement pas content ? pour le moment, amapédia propose près de 10 000 articles, rédigés en interne ou lors de la version de test.
bon j’avoue, culturellement, ça doit irriter les nord américains, cette propension à la raillerie des français dès qu’une innovation sort de leurs cartons. pourtant ce n’est qu’une question monsieur bezos, l’idée est plutôt très séduisante, j’aurais dû commencer par cela !
amapédia dans le sillon de wikipédia ?
amazon s’appuie là sur un système qui a largement fait la preuve de son innovation, (wikipédia) tant il a bousculé les habitudes de “cherche” d’informations, comme dirait, l’excellent francis pisani. si le système est accepté par les internautes clients d’amazon (amazon a t’il prévu de rémunérer ses gentils clients pour leur main d’oeuvre gratuite ?) amapédia pourrait très certainement devenir un très bon outil de recrutement de nouveaux clients, puisque le détail ne vous aura pas échappé, les produits d’amazon sont bien entendu mis en avant (discrètement cela dit) au niveau des articles produits mais signalons que des liens externes vers d’autres sites (à priori non marchands…) sont acceptés !
le référencement naturel d’amapédia sera très bon !
amazon est l’un des sites qui est depuis longtemps les plus visibles dans les résultats naturels des moteurs de “cherche” (avez-vous seulement pris le temps d’observer la richesse d’une page produit d’amazon ? faudra que je vous décortique cela lors d’un autre article…) on peut dire que la question de l’optimisation d’amapédia, ne leur a pas échappé…
dabord, l’outil wiki est un outil “tout texte” ce qui confère aux contenus un degré de “pertinence” très fort par rapport aux exigences des moteurs : balises <h1>, texte de liens précis et concis, “font” en gras, structure du contenu claire, “code propre”, pages segmentées selon un contenu sémantiquement proche, ventilation des expressions liées aux produits savamment dosées dans la page …
ensuite, côté “cherche”, amapédia exploite le système de tags. en cela amapédia confirme l’intérêt du “nommage” par et pour les internautes des articles. c’est un moyen simple de “chercher “, “comparer “, “naviguer “, comme le rappel amapédia dans ces pages, ce que je trouve effectivement très pertinent. ce système de tags est surtout un moyen remarquable de densifier le maillage interne des pages du catalogue produits. amapédia dispose de liens transversaux en nombre (chaque tag “facts” dispose d’un lien hypertexte, complété par une “list of value”, des tags qualificatifs objectifs ou subjectifs complémentaires ) et de qualité puisque ces liens sont complémentaires et souvent sémantiquement proches. la présence de liens vers des sites externes est également un plus (sans attribut “nofollow” ce qui permet aux moteurs de bien considéré la qualité des liens pour le calcul de la popularité des pages…)
on pourrait finir par dire que le sous domaine http://amapedia.amazon.com n’est évidemment pas qu’un bon choix de communication mais aussi un levier pour le référencement, puisque les moteurs pourront afficher dans les résultats des pages amapédia et des pages amazon (google les considérant comme des sites différents), à ceci près que le “page rank” du site ne partira pas de “0″…. (amapédia va probablement hériter d’un indice de confiance élevé issu du nom de domaine parent, www.amazon.com).
pour le moment, amapédia dispose de 3 pages indexées dans google , allez, je prends le paris que cela ne restera pas à ce niveau d’indexation !
amapédia, à suivre, que l’on soir référenceur, marketeur, webmaster, pdg, client d’amazon ou pas !
david
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